transport

Transports

Retrouvez ici les moyens de transports depuis Saint-Martin-le-Beau ou à proximité

La commune de Saint-Martin-Le-Beau est organisateur secondaire afin d’assurer le transport des élèves de primaire jusqu’aux deux écoles communales. L’inscription à ce service se fait à l’année. Le circuit est effectué en semaine scolaire les matins et soirs , lundi , mardi , jeudi, vendredi. Une accompagnatrice scolaire se trouve en permanence sur le circuit et assure la sécurité des élèves transportés. Les enfants doivent impérativement être accompagnés par un adulte à la montée et à la descente du bus, sauf autorisation écrite et signée des parents.

L’organisation des circuits de transport scolaire vers les collèges et les lycées est gérée par la Communauté de Commune Val de Cher .

Pour tout renseignement veuillez contacter le 02.47.23.58.63

http://www.cc-blere-valdecher.fr/cdc-blere/principal/services-la-population/transports-scolaires

Depuis votre Commune, REMI vous facilite vos déplacements en train et en car.

Pour faciliter vos déplacements depuis Saint Martin Le Beau le réseau de transports Rémi organisé par la Région Centre-Val de Loire vous propose des trains et des cars pour vous déplacer en région et jusqu’en Ile de France depuis la gare de Saint Martin Le Beau.

En semaine 20 trains du lundi au vendredi desservent chaque jour votre gare, et les week-ends, 10 trains le samedi et 8 trains le dimanche.

Retrouvez tous les horaires et les informations sur les offres répondant à vos besoins sur le site www.remi-centrevaldeloire.fr.

Pour les jeunes de 15 à 25 ans révolus avec la carte Rémi YEP’S Centre-Val de Loire : 50% de réduction sur vos trajets en semaine, et billet gratuit les samedis, dimanches et jours fériés pour vos trajets en train ou car Rémi sur le réseau de transport Rémi, y compris vers l’Île-de-France, dans la limite des places gratuites disponibles

 

Contact : Romaric LE TOUZE

2 bis rue Neuve
37270 Saint-Martin-le-Beau

02 47 50 26 40

Gare de Saint-Martin-le-Beau

Aire de co voiturage à Athée-sur-Cher

La commune d’Athée-sur-Cher met à disposition une aire de covoiturage : le parking du terrain d’honneur de foot situé chemin des Dames.

Plus d’informations sur le site de la mairie d’Athée-sur-Cher : https://www.athee-sur-cher.fr/

Le covoiturage est de plus en plus mis en avant, prisé tant pour les économies financières que pour les économies d’émissions de gaz à effet de serre. Le covoiturage est aussi bien utilisé pour des trajets ponctuels, généralement moyenne ou longue distance, que pour des trajets quotidiens pour se rendre au travail. Tout le monde peut proposer des trajets en covoiturage, tant que le conducteur est en possession d’un permis de conduire valide, que le véhicule a le contrôle technique à jour et est assuré. Le conducteur peut avoir une assurance auto peu chère, couvrant le véhicule seulement au tiers, les passagers seront toujours couverts en cas d’accident ou de dommage.

Fiche pratique

Libération conditionnelle

Vérifié le 03/03/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

La libération conditionnelle est une mesure d'aménagement de peine de prison. Elle permet à un détenu d'être libéré avant la fin de sa peine, à certaines conditions. Le détenu qui veut la libération conditionnelle doit la demander. La justice examine son comportement ou sa situation de fragilité liée à son âge, à son état de santé, de grossesse ou à la présence d'un enfant. Le détenu est suivi après sa libération et le non-respect des conditions peut entraîner son retour en prison.

La libération conditionnelle permet la sortie anticipée d'une personne qui a été condamnée à une peine de prison ferme.

Le détenu qui bénéficie de libération conditionnelle est libre, mais il doit respecter les conditions qui lui ont été imposées lors de sa libération.

Il faut remplir certains critères pour pouvoir bénéficier de la libération conditionnelle.

Une personne condamnée peut être libérée lorsqu'elle a effectué au moins la moitié de sa peine, si elle manifeste des efforts sérieux de réinsertion.

La libération conditionnelle n'est pas accordée en cas de risque de récidive.

Si la personne a été condamnée à une peine à perpétuité, elle peut demander sa libération conditionnelle au bout de 18 ans (ou de 22 ans si elle est récidiviste).

Pour certains crimes et délits, le tribunal peut décider que la libération conditionnelle ne pourra pas être accordée avant un certain délai. Ce délai s'appelle la période de sûreté.

En outre, la personne condamnée doit apporter la garantie d'un ou plusieurs des éléments suivants :

  • Futur emploi ou stage à sa sortie de prison
  • Projet de formation professionnelle
  • Nécessité de participer à la vie de sa famille (sa présence est essentielle pour l'éducation d'un enfant par exemple)
  • Nécessité de suivre un traitement médical
  • Efforts en vue d'indemniser ses victimes
  • Implication dans tout autre projet sérieux de réinsertion

Si la personne condamnée a plus de 70 ans, elle peut être libérée quelle que soit la durée de la peine qui lui reste à effectuer.

La libération conditionnelle lui est accordée dès lors dès lors que sa réinsertion est assurée. Le condamné doit justifier qu'il sera pris en charge à sa sortie ou qu'il bénéficie d'un hébergement.

Une telle libération n'est pas accordée en cas de risque grave de récidive ou si elle peut causer un trouble grave à l'ordre public.

La libération conditionnelle peut être accordée pour raisons familiales à une personne condamnée à qui il reste moins de 4 ans de prison à accomplir, quelle que soit la peine initiale.

Une telle libération est accordée uniquement si la personne condamnée exerce l'autorité parentale sur un enfant de moins de 10 ans. L'enfant doit avoir sa résidence habituelle chez la personne condamnée. Si la personne condamnée est divorcée/séparée et dispose d'un simple droit de visite, elle ne peut pas bénéficier de ce dispositif.

Une femme enceinte de plus de 12 semaines est également concernée par cette mesure.

Elle n'est pas accordée en cas de risque de récidive ou en cas de crime ou de délit, commis sur un mineur.

La libération conditionnelle peut être accordée sans condition de durée de peine accomplie à un condamné qui a bénéficié d'une mesure de suspension de peine pour ce motif. Il faut pour cela que les 2 conditions suivantes soient remplies :

  • 1 an après l'octroi de la mesure de suspension de peine, une nouvelle expertise établit que l'état de santé physique ou mentale de la personne est toujours durablement incompatible avec le maintien en détention
  • Le condamné justifie d'une prise en charge adaptée à sa situation

  • La libération conditionnelle est accordée par le juge de l'application des peines pour les condamnés jusqu'à 10 ans de prison. La personne condamnée est entendue par le juge. Elle peut être assistée d'un avocat.

    Où s’adresser ?

    C'est la décision de libération conditionnelle qui fixe les mesures de suivi.

    Le juge compétent est celui dont dépend la prison où est enfermée la personne condamnée.

    Où s’adresser ?

    La personne condamnée peut faire appel de la décision dans un délai de 10 jours francs après la notification de la décision. La cour d'appel compétente est celle dont dépend le juge qui a pris la décision.

    Où s’adresser ?

      À savoir

    l'avocat des victimes peut assister l'audience et être entendu, si la personne qui demande la libération conditionnelle a été condamnée à une peine de plus de 5 ans. Il peut aussi être entendu en cas d'appel.

  • La libération conditionnelle est accordée par le tribunal de l'application des peines pour les autres condamnés. La personne condamnée est entendue par le tribunal. Elle peut être assistée d'un avocat.

    Où s’adresser ?

    C'est la décision de libération conditionnelle qui fixe les mesures de suivi.

    Le juge ou le tribunal compétent est celui dont dépend la prison où est enfermée la personne condamnée.

    Où s’adresser ?

    La personne condamnée peut faire appel de la décision dans un délai de 10 jours francs après la notification de la décision. La cour d'appel compétente est celle dont dépend le tribunal qui a pris la décision.

    Où s’adresser ?

      À savoir

    l'avocat des victimes (mais pas la victime elle-même) peut assister l'audience et être entendu, si la personne demandant une libération conditionnelle a été condamnée à une peine de plus de 5 ans. Il peut aussi être entendu en cas d'appel.

Après sa libération, la personne condamnée est suivie par un juge de l'application des peines et par un conseiller pénitentiaire d'insertion et de probation. Elle est soumise à une ou plusieurs mesures de suivi socio-judiciaires parmi la liste suivante :

  • Exercice d'un emploi
  • Obligation de suivre des soins
  • Restrictions à sa liberté de mouvement
  • Obligation d'indemniser les victimes

La personne condamnée reste soumise à ce suivi durant la durée de la peine qu'il lui reste à effectuer. Si elle a été condamnée à perpétuité, ce suivi dure entre 5 et 10 ans.

Si elle ne respecte pas ses obligations, la personne condamnée peut retourner en prison pour y effectuer le reste de sa peine.

  À savoir

pour les peines d'au moins 5 ans d'emprisonnement, le suivi socio-judiciaire peut s'effectuer via une surveillance électronique mobile.

Pour en savoir plus